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Les organes syndicaux et des droits de l’homme qui entrent dans la ligne de la décision “Akhnoush” d’empêcher la quatrième autorité d’exercer ses fonctions et de condamner la décision et de la considérer comme un appel à la constitution et aux pactes internationaux

Suite à l’interdiction d’un groupe de plateformes médiatiques, dans sa couverture d’un événement national par une partie dirigeant la coalition gouvernementale, de suivre le rythme et de couvrir l’événement de sa conférence nationale dans un groupe de villes marocaines, nous nions, mais sans s’y limiter à Rabat et Fès.

 

Media Voices Groupe, La Fédération des éditeurs marocains, la National Independent Information Authority et le Syndicat indépendant des journalistes marocains, le chef du parti, qui est en même temps le chef du gouvernement marocain, déclare que la société sans liberté signifie une société autoritaire, et que la liberté des médias et le droit de couvrir les événements sans abus ni discrimination relèvent des principes démocratiques et doivent être construits L’état de vérité, de droit et d’institutions, et que son absence signifie l’instauration d’une société chaotique, car la liberté de la presse est une norme pour juger le progrès de toute nation et respecter la dignité et les droits de la société dans son ensemble en tant que droits fondamentaux qui sont indivisibles ou confisqués.

 

Nous assurons les responsables du parti Hamama que la liberté est la présomption de responsabilité devant la loi juste et la conscience professionnelle appropriée, car la liberté de pratique équitable des médias est un droit et un devoir avant qu’ils ne soient mandatés ou honorés dans tous les pays du monde, et que la décision de prévention prise constitue une violation des fondements juridiques, constitutionnels, mondiaux et nationaux confirmés par les pactes internationaux relatifs aux droits L’être humain, que la constitution marocaine a publiée en 2011, a considéré comme un cadre de référence pour la pratique politique, ce qui l’a renforcé avec le droit d’accéder à l’information et a obligé les entités institutionnelles à la télécharger.

 

Ce qui s’est passé est considéré comme un sérieux revers, d’autant plus que l’interdiction est prononcée par une institution partisane qui dirige l’alliance gouvernementale existante, qui est censée défendre l’application et le téléchargement de ces droits fondamentaux, pour ne pas y être partie, d’autant plus que l’article 19 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques a insisté pour que l’exercice du droit à la liberté L’expression implique des devoirs et des responsabilités spéciales, les parties présentes aux postes de responsabilité sont tenues d’appliquer leurs exigences, ce qui n’a pas été fait par une institution du parti représentant la majorité du gouvernement.

 

De ce point de vue, nous déclarons notre condamnation et notre condamnation de l’interdiction de longue date sur ces plateformes médiatiques d’exercer leur devoir professionnel avec ce que cette décision portait non seulement sur le droit de ces plateformes de s’acquitter de leur devoir professionnel, mais aussi sur la constitution fondements sur lesquels repose le Royaume du Maroc et dont la Majesté le Roi a été Mohammed VI La victoire de Dieu appelle à son téléchargement et à son expansion de son domaine de pratique.

Il est considéré que ce comportement condamné revient au pays depuis des années et menace la stabilité et la sécurité intellectuelle du Royaume du Maroc, et le droit de la société de suivre les traces du parti et du gouvernement, sans dire les médias, d’autant plus que ces organes du parti sont financés par les finances de l’État / du peuple, et ces institutions sont censées respecter le peuple de l’État et la constitution comme Le garant de l’équilibre des pouvoirs et des institutions.

Nous exprimons notre solidarité absolue avec les plateformes médiatiques et les professionnels des médias concernés par cette décision de prévention.

Les pneus signés par le Congrès national du Parti du Rallye National Libre espèrent corriger l’erreur et présenter des excuses aux institutions médiatiques qui ont été affectées par la décision de prévention injustifiée et inconstitutionnelle, d’autant plus que le peuple marocain parie sur l’engagement de la coalition gouvernementale à convertir les promesses faites en faits sur le terrain.

Invite tous les professionnels des médias à condamner et à confronter ce comportement tel qu’il constituait et constitue un revers et un retrait de ce qui a été réalisé lors d’une marche de la lutte nationale afin de le consacrer comme une coutume de base qui garantit l’intégrité du pouvoir et des institutions, et est ouvert aux hautes valeurs portées par la constitution marocaine et ses traits sont tirés par la philosophie fondue annoncée par les discours royaux C’est une règle directrice pour travailler à la construction du Maroc de demain, le Marocain des droits, des libertés et de la démocratie.

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